Le loup la vraie histoire

Le loup la vraie histoire

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Canis lupus est une espèce de mammifère de la famille des Canidés. L'espèce Canis lupus a évolué au cours de l'histoire pour se différencier en plusieurs sous-espèces de grands loups gris (Canis lupus lupus), mais aussi pour donner des canidés plus petits comme le chien chanteur (Canis lupus hallstromi) ou le dingo (Canis lupus dingo) et le chien domestique (Canis lupus familiaris) avec toutes les races très diverses qui lui sont reconnues.

Tous les Canis lupus ne seraient donc pas des « loups », ni tous les loups des Canis lupus[1]. Mais comme cette espèce regroupe la majorité des loups actuels de nombreuses publications assimilent Canis lupus au Loup gris, voire au loup tout court, en excluant chiens, dingos et sans doute aussi les espèces de loups marginales de leurs études. En Occident la sous-espèce de loup gris la plus connue est le Loup gris commun (Canis lupus lupus).

Les loups gris sont des prédateurs, vivant et chassant en groupes organisés, selon une hiérarchie sociale stricte. Exterminés peu à peu par l'homme, en particulier au XIXe siècle, ces loups sont principalement présents au XXIe siècle dans les steppes de Sibérie. Ils sont désormais protégés dans de nombreux pays où l'on tente de préserver les populations restantes, en particulier en Amérique du Nord.

Les loups gris ont toujours fasciné les humains au cours de l'histoire, alimentant la mythologie, les fantasmes et tous les domaines de la culture.

Sommaire

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Description de l'espèce [modifier]

Les individus de l'espèce Canis lupus peuvent prendre des aspects très différents : rien à voir a priori entre un loup gris commun d'une cinquantaine de kilogrammes, un dingo, un Chihuahua de 900 grammes et un mastiff de 100 kg. Ils ont pourtant tous un même ancêtre Canis lupus commun et sont tous interféconds.

Les points communs aux Canis lupus [modifier]

Principales caractéristiques [modifier]

Un loup de 90 kg
Une louve de 70 kg, prénommée « Fifille »
  • Morphologie : Bien que semblable aux mophologies des autres canidés, les différences de taille au sein de cette espèce est très grande, du Chihuahua au loup gris en passant par le Saint-bernard. En outre si le Loup gris évoque un peu la race Berger allemand, il présente une tête plus large, une poitrine moins profonde, un cou plus épais et des oreilles moins longues et plus écartées. Morpholiquement, les chiens primitifs de type Huskies sibérien sont plus proches du loup, mais moins grands, plus compacts et plus courts sur pattes.
  • En générale la femelle est plus grande que le mâle. Les spécimens pèse adulte de moins d'un kilo à 100 kg, en fonction de la sous-espèce, la race, du sexe.
  • Chromosomes : 78, y compris chez le chien[2]
  • Dentition : 42 dents (32 chez les jeunes, denture définitive à 7 mois). Les crocs des loups gris mesurent 6 à 7 cm dont 2 cm enchâssées dans la gencive. Les muscles de la mâchoire sont puissants. Ils servent pour les population sauvage à broyer os ou de agripper une proie plus lourde que lui pour la tirer. La gueule du loup gris est bien plus largement fendue et puissante que celle du chien : la mâchoire du loup peut exercer une pression de 150 kg/cm² contre 60 a 65 kg/cm² chez le chien[3].
  • Répartition : La répartition de Canis lupus suit celle du chien, elle est mondiale
  • Ces animaux, comme tous les canidés, peuvent aboyer, japper, et produire un grand nombre de sons différents. Les loups ne sont pas les seuls à pouvoir hurler.

Les loups gris [modifier]

La femelle du loup est la louve, son petit est le louveteau. Le loup hurle, jappe, gémit et grogne. La population mondiale de loups, vivants à l’état sauvage, est actuellement estimée à environ 200'000 individus (alors qu’il pouvait y avoir jusqu’à deux millions d’individus dans des temps plus anciens). Ils sont répartis au sein de 57 pays[4].

Régime alimentaire [modifier]

Les loups ont un régime alimentaire de carnivores. L'espèce inscrit à son menu cervidés, volailles, renards, marcassins, ânes, reptiles, charognes ... et fruits blets. Il peuvent aussi parfois chasser le Boeuf Musqué et l'Orignal. Dans le Grand Nord, les loups préfèrent manger des petits rongeurs, les lemmings, plutôt que les rennes, pourtant plus charnus. Les loups traquent les rongeurs parce qu'ils sont proportionnellement beaucoup plus gras que les rennes. Cette graisse stockée par l'organisme des loups les protège du froid. Les loups sont aussi friands de raisin, qui leur apportent du sucre et des vitamines. Par temps de disette, ils peuvent aussi manger des insectes ou des champignons[réf. nécessaire].

En automne, les loups modifient leur régime alimentaire et consomment de grande quantité de saumons qui sont alors en pleine montaison[5]. La pêche au saumon est en effet nettement moins dangereuse que la chasse au cerf. De plus, le saumon, à l’approche de l’hiver, offre une meilleure qualité nutritive en termes de matières grasses et d’énergie[réf. nécessaire].

Reproduction [modifier]

Le loup atteint sa maturité sexuelle à 3 ans pour le mâle et 2 ans pour la femelle. La saison des amours a lieu, selon les régions, de janvier à mars. Au terme d'une gestation de 61 à 63 jours, la femelle met donc bas entre mars et juin[réf. nécessaire].

Les portées comptent trois à huit louveteaux recouverts d'une légère couche de poils et pesant de 300 à 500 grammes, que leur mère allaite à l'aide de ses 5 paires de mamelles[réf. nécessaire].

Particularités [modifier]

La morsure du loup atteint une pression de 150 kg/cm², soit le double d'un gros chien[réf. nécessaire].

Le loup est un bon nageur et un meilleur coureur encore : sa vitesse de pointe est de 45 à 50 km/h, et il peut parcourir jusqu'à 60 km en une nuit (un record de 190 km est attesté[réf. nécessaire]).

Son odorat lui permet de détecter un animal à 270 m contre le vent et sa morphologie lui offre un angle de vision à 250° (180° chez l'homme). La nuit, les yeux du loup paraissent phosphorescents car ils sont tapissés d'une couche de cellules, le tapetum lucidum, qui lui permettent de voir aussi bien que le jour[réf. nécessaire].

L'audition du loup lui permet d'entendre des sons jusqu'à 40 kHz (20 kHz chez l'homme), il perçoit notamment d'autres loups hurler jusqu'à une distance de 6,4 à 9,6 km[réf. nécessaire].

Les battements cardiaques ont une fréquence de 90 pulsations par minute, jusqu'à 200 lors d'efforts importants[réf. nécessaire].

La fréquence respiratoire est de 15-20/minute, jusqu'à 100 lorsque le loup halète[réf. nécessaire].

Un dépouillement d'archive non exhaustif dans les registres paroissiaux menée par Jean-Marc Moriceau dénombre plus de 1100 cas de prédation de l'homme par le loup, nettement distingués des décès suites à des morsures de loups enragés (plus de 400 à partir des mêmes sources), en France (territoire métropolitain actuel), entre les années 1580 et 1842. Les victimes sont en très grande majorité des enfants ou adolescents isolés. Cette prédation de l'homme, jugée inhabituelle par les contemporains eux-mêmes, pourrait être favorisée (selon l'auteur de l'étude) par les guerres et troubles politiques qui, en parsemant les campagnes de cadavres sans sépulture, développeraient chez une minorité de loups un goût pour la chair humaine. Bien que marginaux vis-à-vis de la mortalité sous l'Ancien Régime, ces cas ont eu une répercussion sur l'imaginaire collectif, nourrissant la peur du loup[6].

La meute : structure sociale du loup [modifier]

Meute de loups au parc animalier de Gramat (Lot, France)

Les loups vivent en meutes organisées selon une hiérarchie stricte dirigée par un couple de loups. La meute est dirigée par un mâle alpha et une femelle alpha. Le couple alpha est généralement le seul à procréer. Ce type d'organisation se retrouve également chez d'autres canidés vivant en meutes, tels que les dholes (Cuon alpinus) et les lycaons (Lycaon pictus), respectivement chiens sauvages d'Asie et d'Afrique[réf. nécessaire].

Généralement, la meute est une famille composée des deux parents et d'une ou plusieurs générations de louveteaux, ainsi s'établissent les liens de domination et de soumission (classiquement le rang de dominance est indiquée par une lettre de l'alphabet grec, en suivant l'ordre d'importance dans la hiérarchie). À l'occasion, on verra apparaître un ou plusieurs loups oméga : ceux-ci sont les souffre-douleur de la meute et c'est vers eux que converge toute l'agressivité[réf. nécessaire]. Autour de cette structure s'organise la vie des loups : ainsi ils peuvent chasser en groupe mais aussi élever leur progéniture. Le chef a le privilège de décider la chasse et de se nourrir en premier sur les proies, c'est également lui qui ordonne la poursuite d'un intrus sur le territoire. Enfin, c'est lui seul qui se reproduit avec la louve alpha à la saison des amours (bien qu'il y ait des exceptions). Lorsqu'un alpha est trop vieux, c'est l'un de ses subalternes qui lui dispute la place de leader et la prend s'il réussit à le dominer[réf. nécessaire].

La taille des meutes varie du simple couple à la douzaine d'individus. Toutefois des cas rares de meute de plus de 30 loups ont été observés, ainsi la meute la plus nombreuse jamais observée était composée de 36 membres et vivait en Alaska[réf. nécessaire]. Elle varie également selon la période de l'année : les principaux facteurs en sont la mortalité et les dispersions. En effet, certains loups décident de quitter la meute (comme les loups oméga) ou sont bannis après avoir échoué lors d'un conflit. Des tensions peuvent naître pour plusieurs raisons : quand la nourriture se fait rare et peu disponible (surtout à la fin de l'hiver), pour pouvoir s'accoupler (en hiver de la fin février à la mi-mars) ou tout simplement pour dominer les autres loups. La plupart des loups quittent ainsi leur meute natale entre 9 et 36 mois. Une nouvelle meute se forme lorsque deux loups dispersants se rencontrent et disposent d'un territoire approprié (i.e. où la nourriture est accessible et suffisante) pour fonder une nouvelle famille[réf. nécessaire].

Pour des animaux sociaux comme les loups, la vie en meute présente plusieurs avantages [réf. nécessaire]:

  • La possibilité d'attaquer des animaux plus grands qu'eux, ainsi la chasse est plus efficace pour moins d'efforts.
  • Les réserves sont mieux gérées (moins de surplus abandonné aux concurrents lorsque plus de bouches sont à nourrir).
  • La protection des louveteaux, leur éducation et l'initiation aux rudiments de la chasse - la meute est une véritable nurserie où chaque membre prend soin des petits.
  • Le fait que seul le couple alpha se reproduise empêche la prolifération de loups sur un territoire, de plus les loups ne se reproduisent pas chaque année si la nourriture fait vraiment défaut.

Communication [modifier]

Entre les meutes [modifier]

Leur moyen de communication est le hurlement, ils poussent des cris. Les loups hurlent — entre autres — pour se rassembler et maintenir une cohésion dans le groupe. Leurs gémissements avertissent également les loups aux alentours de la présence de la meute, afin de prévenir contre les intrusions. Tout comme les gémissements, les hurlements sont composés de plusieurs harmoniques ce qui donne l'impression que la meute qui hurle est beaucoup plus nombreuse qu'elle ne l'est réellement. Il arrive parfois qu'un loup solitaire hurle pour se signaler à un conjoint potentiel. Chaque loup a une fréquence vocale distinctive. Rarement, certains loups peuvent présenter le même hurlement. On peut enregistrer les hurlements d'une meute et développer des algorithmes pour décomposer le signal sonore. Ces algorithmes peuvent attribuer à chaque animal ses vocalisations propres[réf. nécessaire].

Un autre sens utilisé pour la communication externe chez le loup est l'odorat. Ses facultés olfactives supérieures à celles de l'homme lui permettent de distinguer l'odeur de ses congénères. Il utilise ainsi des marquages au sol tel que l'urine ou les fèces (excréments). Ces marquages servent à délimiter son territoire ainsi qu'à donner des renseignements sur lui-même, par exemple tel que l'état sexuel (hormonal) des femelles pendant la période de reproduction[réf. nécessaire].

Entre les individus au sein de la meute [modifier]
Meute de loups et louveteaux au parc Alpha de Saint-Martin-Vésubie

Les loups utilisent tout un éventail de grognements, gémissements et brefs aboiements pour communiquer entre eux au sein de la meute que ce soit pour exprimer la peur, l'anxiété, la domination ou la soumission, la protestation ou encore pour jouer ou avertir la meute de la présence d'un intrus[réf. nécessaire].

Les loups ajoutent à ces signaux sonores des signaux visuels, principalement par l'expression de leur visage, leur posture leur mouvements et la position de leur queue. Un loup dans un état agressif aura par exemple le regard fixe, les babines retroussés, les crocs apparents, se tiendra droit les poils du dos hérissés et la queue levée pour chercher à impressionner. Inversement, un loup en état de soumission se fera plus petit, le regard fuyant et les oreilles baissés, la queue entre les jambes. Le loup peut en cas de soumission passive, rouler sur le dos et exposer sa région génito-anale afin de montrer qu'il est le dominé à l'autre loup[réf. nécessaire].

En plus des marquages au sol, l'odeur laissée par un loup s'il se roule sur la neige ou se frotte contre un arbre sera comme une « carte de visite ». Le loup sécrète de nombreuses substances odorantes : à la base des poils, des pattes, au niveau de la région génito-anale[réf. nécessaire].

Il reste une part de mystère dans la communication chez le loup, notamment sur les fonctions exactes du hurlement bien que sa fonction première soit après le plaisir, la réaffirmation des liens qui unissent les loups du clan. La communication tactile (par exemple : le contact physique du museau du louveteau sur les lèvres d'un aîné pour régurgiter de la nourriture) et la communication gustative sont également encore peu étudiées[réf. nécessaire].

Avec les hommes [modifier]

Le loup est un animal sauvage doté d'instincts précis lui permettant d'exceller dans la vie sauvage. Domestiquer le loup nécessiterait une sélection permettant de limiter les instincts les plus incompatibles avec une vie domestique, ce qui nécessiterait de nombreuses générations. Peut-on vraiment l'apprivoiser, et sans danger ? Bien qu'il existe de telles pratiques (plusieurs ouvrages y font référence, ainsi que certains reportages), un loup reste un animal puissant, imprévisible et redoutable[réf. nécessaire].

Découvrant les structures sociales d'une espèce animale commune dont nos aïeux devaient se prémunir mais aujourd'hui largement décimée, les gens sont aujourd'hui très divisés. Certains les dressent (?), d'autres rêvent d'une réintroduction à grande échelle, d'autres encore veulent trouver un équilibre entre l'occupation viable de l'espace rural et la présence de ces prédateurs. En sens contraire les éleveurs sont directement touchés par les prédations exercées sur leurs troupeaux et ressentent un sentiment d'abandon à l'égard des pouvoirs publics. La plupart des éleveurs ne souhaitent, ni n'acceptent, d'assumer à leur détriment ce retour d'un maillon important de la chaine alimentaire. Aussi ils se tournent vers des actions spectaculaires[réf. nécessaire].

Du fait de sa structure sociale, de son attachement aux jeunes, et de son mode de nourrissage par régurgitation directement dans la gueule, le loup est peut être le seul animal à avoir élevé des humains. Si les légendes de Rémus et Romulus ou Mowgli sont encore dans l'imaginaire collectif, il est exact qu'il existe d'autres animaux ayant cette réputation d'éleveurs d'hommes (les anthropoïdes ou singes de Tarzan par exemple), aucune observation n'a été attestée en dehors de romans de de légendes[réf. nécessaire].

Il existe une prime au Canada (Le Canada et la Russie sont les deux pays au sein desquels il vit le plus de loups actuellement) à verser à toute personne pouvant prouver une attaque de loup sur l'homme[réf. nécessaire]. En effet la question de savoir si le loup est, ou a été, un prédateur habituel de l'homme reste posée. L'anthropophagie isolée d'un ou quelques loups, sans lien avec la rage, paraît vraisemblable (voir Bête du Gévaudan).

Les sous-espèces de Canis lupus [modifier]

Ce loup s'est adapté de différentes manières, dans sa grande aire de répartition. Des sous-espèces ont vu le jour. Cette subdivision est cependant contestée par certains spécialistes.

Généticiens, morphologistes et les spécialistes du comportement hésitent ainsi sur la classification du Loup rouge, du Loup de l'Est (loup du Canada) ou même du chien dont le statut d'espèces séparées est régulièrement débattu. L'origine du chien domestique, en particulier, n'est pas évidente à établir: certains estiment que l'ancêtre direct du chien est bien le loup gris mais d'autres ont évoqué plutôt le Chacal doré (Canis aureus), tandis que des études considèrent que c'est plutôt un hybride de différentes espèces du genre Canis ou bien une espèce à part entière (Canis familiaris) qui aurait évoluée parallèlement au loup gris[7],[8],[9]. Malgré tout le chien est généralement considéré officiellement comme une sous-espèce de Canis lupus (Canis lupus familiaris)[10] comme d'autres canidés qui se distinguent pourtant des « loups » proprement dits par leur aspect ou leurs mœurs : le dingo (Canis lupus dingo) ou le Chien chanteur (Canis lupus hallstromi)[11].

Comparaison des quelques sous-espèces de Canis lupus notables:

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En Europe, tous les loups sont décrits comme des loups gris. Il existe cependant des différences considérables : en Italie et en Espagne, par exemple, les loups sont plus petits et plus roux, et surtout plus craintifs que les animaux vivant plus au nord.

Selon les références on trouve de 15 à 40 sous-espèces, cependant la tendance aujourd'hui est à réduire considérablement cette liste de sous-espèces en considérant qu'il s'agit dans la majorité des cas d'adaptations locales de l'espèce Canis lupus (notamment par les analyses et statistiques du taxonomiste Ron Nowak).

On peut distinguer 2 groupes de sous-espèces : celles d'Amérique et celles d'Europe.

Sous-espèces de loups d'Amérique [modifier]

Répartition géographique des sous-espèces de Canis lupus en Amérique du Nord :
     Canis lupus lycaon
     Canis lupus mackenzii
     Canis lupus nubilus
     Canis lupus arctos
     Canis lupus baileyi
Loup aux États-Unis
  • Canis lupus occidentalis - Loup d'Alberta, regroupe :
    • Canis lupus columbianus - le loup de Colombie
    • Canis lupus griseoalbum - le loup des prairies
    • Canis lupus mackenzii - le loup de Mackenzie
    • Canis lupus pambasileus - le loup d'Alaska
    • Canis lupus tundrarum - le loup de la Toundra
    • Canis lupus alces - le loup de la péninsule de Kenai (éteint)
  • Canis lupus nubilus - Loup des Grandes Plaines, regroupe :
    • Canis lupus crassodon - le loup de Vancouver
    • Canis lupus hudsonicus - le loup de l'Hudson
    • Canis lupus irremotus - le loup des Rocheuses septentrionales
    • Canis lupus labradorius - le loup du Labrador
    • Canis lupus ligoni - le loup de l'archipel Alexandre
    • Canis lupus manningi - le loup de la Terre de Baffin
    • Canis lupus beothucus - le loup de Terre-Neuve (éteint)
    • Canis lupus fuscus - le loup d'Oregon (éteint)
    • Canis lupus mongollonensis - le loup Mongollon (éteint)
    • Canis lupus monstrabilis - le loup du Texas (éteint)
    • Canis lupus nubilus - le loup des bisons (éteint)
    • Canis lupus youngi - le loup des Rocheuses méridionales (éteint).
  • Canis lupus arctos - Loup arctique, regroupe :
  • Canis lupus baileyi - Loup du Mexique
Loup du Mexique

Et deux sous-espèces discutées par certains spécialistes et qui seraient peut-être des loups du Nouveau monde ayant évolué à part (cf. ci-dessous) :


Sous-espèces de loups d'Eurasie [modifier]

Répartition géographique des sous-espèces de Canis lupus en Eurasie :
     Canis lupus lupus
     Canis lupus albus
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20/10/2009
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